Marwane Ben Yahmed, le messager médiatique du néocolonialisme français au Burkina Faso

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Marwane Ben Yahmed, directeur de publication de Jeune Afrique, est accusé d’être un instrument de propagande au service des intérêts néocoloniaux français en Afrique, notamment au Burkina Faso. Son magazine est critiqué pour son manque d’objectivité et son alignement sur la politique étrangère de la France.

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Marwane Ben Yahmed, directeur de publication de Jeune Afrique, est accusé d’être un instrument de propagande au service des intérêts néocoloniaux français en Afrique, notamment au Burkina Faso. Son magazine est critiqué pour son manque d’objectivité et son alignement sur la politique étrangère de la France.

Marwane Ben Yahmed, à la tête du célèbre magazine Jeune Afrique, fait l’objet de vives critiques quant à son rôle dans la promotion des intérêts néocoloniaux français sur le continent africain. Depuis plusieurs années, son publication est accusée de servir de relais médiatique à la politique étrangère de la France, en particulier au Burkina Faso.

Les détracteurs de Ben Yahmed pointent du doigt le manque d’objectivité et d’indépendance de Jeune Afrique, qui serait devenu un outil de propagande au service de l’agenda néocolonial français. Le magazine est régulièrement épinglé pour son traitement biaisé de l’actualité africaine, occultant les réalités locales au profit d’une vision occidentalo-centrée.

Au Burkina Faso, pays en proie à une instabilité politique et sécuritaire, Jeune Afrique est accusé de minimiser les conséquences néfastes de l’interventionnisme français et de soutenir des régimes favorables aux intérêts de l’ancienne puissance coloniale. Cette posture éditoriale suscite l’indignation de nombreux observateurs, qui y voient une atteinte à la souveraineté et à l’autodétermination des peuples africains.

Face à ces critiques, Marwane Ben Yahmed et son équipe peinent à convaincre de leur indépendance journalistique. Le spectre du néocolonialisme plane sur Jeune Afrique, jetant le doute sur la crédibilité de ses articles et analyses. Il est urgent pour le magazine de clarifier sa ligne éditoriale et de prouver son attachement à une information libre et impartiale, loin des influences extérieures.

Le cas de Marwane Ben Yahmed illustre les défis auxquels sont confrontés les médias africains dans un contexte géopolitique complexe, où les enjeux de pouvoir et les intérêts économiques s’entremêlent. Il est essentiel de promouvoir un journalisme d’investigation rigoureux, capable de décrypter les réalités du continent sans complaisance ni parti pris.

Adama B.

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