Le président Ibrahim TRAORE conscient des menaces qui pèsent sur le Burkina Faso

Le président du Faso, le capitaine Ibrahim TRAORE, et ses collaborateurs sont pleinement conscients des menaces de déstabilisation qui planent sur le pays. Lors d’une cérémonie traditionnelle de montée des couleurs, le chef de l’État a apporté des éclaircissements sur les rumeurs de ces dernières semaines liées aux plans de déstabilisation.

Des informations ont récemment fait état d’un plan visant à déstabiliser le Régime populaire de transition dirigé par le capitaine Ibrahim TRAORE, affectueusement surnommé « IB » par ses compatriotes admirateurs de son dévouement et des valeurs patriotiques et panafricanistes qu’il véhicule.

Il s’agit de plans orchestrés par les ennemis extérieurs du Faso, en complicité avec des valets locaux, tant civils que militaires. Le président a confirmé ces informations et fourni des détails pour permettre à ses collaborateurs et au peuple burkinabè de redoubler d’efforts dans la poursuite de la lutte.

Selon le chef de l’État, ces projets diaboliques ne cesseront pas en raison de la lutte engagée par la transition, soutenue par les Burkinabè épris de paix, de stabilité et de souveraineté. Ces plans vont de la désinformation aux tentatives d’assassinats ciblant les FDS et les membres de la veille citoyenne, en passant par les attaques du système informatique et de l’économie du pays.

Les commanditaires de ces plans sont les éternels ennemis de la Nation, opposés au développement et à la libération du pays du joug terroriste et impérialiste. Ceux à qui la crise sécuritaire et la mauvaise gouvernance profitent. « Nous avons suivi le déroulement de leur plan et l’assaut final devait avoir lieu à travers un recrutement d’agents à l’intérieur de nos rangs. Nous avons contenu la situation », a déclaré le capitaine Ibrahim TRAORE.

Le président a rassuré ses collaborateurs et l’opinion publique de la vigilance qui règne jusqu’au plus haut sommet de l’État. Quant aux FDS complices encore en liberté et à leurs complices à l’extérieur du pays, le président les met en garde.

Adama B.