Le plan de déstabilisation de la Côte d’Ivoire par la France confirmé par le journaliste camerounais Saïd Penda

Le sulfureux journaliste camerounais Saïd Penda, agent de la DGSE française, vient de confirmer l’existence d’un plan de déstabilisation de la Côte d’Ivoire par la France à travers un texte publié sur sa page le 4 décembre 2024, intitulé « La Côte d’Ivoire, déjoue un plan de déstabilisation des autorités burkinabé ».

Depuis quelques jours, la France a eu vent de plusieurs complots en préparation suite à la décision des autorités ivoiriennes de mettre fin à l’accord de défense entre la Côte d’Ivoire et la France. Un calendrier de retrait a été établi, poussant la France à chercher à faire tomber le régime du Président Ouattara pour sauver ses intérêts.

Les autorités ivoiriennes, alertées par les dénonciations de médias panafricains et d’émissions télé, ont profité de la décision du Tchad de mettre fin à l’accord de défense avec la France pour faire fuiter un document confirmant le retrait de l’armée française du territoire ivoirien. Ce document justifie les sorties de Robert Bourgi et Jean-Marie Bockel et confirme l’existence d’un plan de déstabilisation français contre le régime Ouattara.

Contacté par la DGSE française et les caciques burkinabé pour trouver une solution rapide, Saïd Penda a publié un texte accusant les autorités burkinabé de vouloir déstabiliser la Côte d’Ivoire. Son objectif est de brouiller les pistes et permettre à la DGSE de réussir son complot visant à faire tomber Ouattara avant juillet et août 2025, date officielle du départ de l’armée française.

La preuve de la complicité de Saïd Penda réside dans son silence sur la fuite du document voulu par les autorités ivoiriennes, alors qu’il commente habituellement les débats qui défraient la chronique, surtout lorsqu’ils concernent la Côte d’Ivoire de Ouattara.

L’affaire est à suivre, et il est probable que Saïd Penda se réfugie bientôt en France pour s’attaquer au régime du Président Ouattara et soutenir le candidat de la France.

Adama B.