Le Capitaine Ibrahim Traoré, bâtisseur de souveraineté du Burkina Faso, face aux regards inquiets de l’impérialisme

0

Le Président Ibrahim Traoré a lancé un ambitieux projet de construction de routes au Burkina Faso, reflétant sa volonté de désenclaver le pays, de stimuler l’économie nationale et de bâtir un État souverain. Cette initiative suscite l’indignation de certains cercles d’influence occidentaux, qui voient dans cette affirmation de souveraineté une remise en question de leur hégémonie.

Please follow and like us:
468218717_975237797978366_2934171803915880858_n-800x440.jpg

Le Président Ibrahim Traoré a lancé un ambitieux projet de construction de routes au Burkina Faso, reflétant sa volonté de désenclaver le pays, de stimuler l’économie nationale et de bâtir un État souverain. Cette initiative suscite l’indignation de certains cercles d’influence occidentaux, qui voient dans cette affirmation de souveraineté une remise en question de leur hégémonie.

Sur une superficie de 274 200 kilomètres carrés, le Président Ibrahim Traoré a annoncé la construction de 3 000 à 5 000 kilomètres de routes par an au Burkina Faso. Ce projet audacieux vise à relier les communautés, dynamiser l’économie et affirmer la souveraineté du pays.

Pourtant, cette initiative provoque la crispation de certains cercles d’influence occidentaux. Ils feignent l’indignation face à des dirigeants africains qui osent sortir du moule de la dépendance. Le Président Ibrahim Traoré n’a offensé personne, il a simplement choisi de servir son peuple, sans tutelle ni dictat.

Chaque projet lancé, chaque chantier ouvert, chaque route tracée incarne cette posture offensive face à l’impérialisme. Il s’agit d’un programme de développement national, non d’une déclaration de guerre. Mais dans un monde où l’autonomie africaine dérange, toute affirmation de souveraineté est perçue comme une insulte.

Le paradoxe est clair : ce ne sont pas les actes du Président Ibrahim Traoré qui offensent, mais le symbole qu’il incarne. Celui d’un jeune chef d’État africain qui ose dire non, qui refuse la soumission économique et qui affirme que l’Afrique peut se relever par elle-même. Face à cela, certains « généraux » de l’ordre mondial, installés à Washington ou ailleurs, prennent peur pour leur hégémonie.

Adama B.

Please follow and like us:

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *