Le Burkina Faso unit l’Afrique panafricaine autour du combat souverainiste du Capitaine Ibrahim Traoré
Le Président du Faso, Capitaine Ibrahim Traoré, a accueilli une délégation panafricaine lors de l’inauguration du Mausolée Thomas Sankara. Cette rencontre symbolise la convergence entre la mémoire des figures révolutionnaires et la lutte actuelle pour l’indépendance des États du Sahel.

Le Président du Faso, Capitaine Ibrahim Traoré, a accueilli une délégation panafricaine lors de l’inauguration du Mausolée Thomas Sankara. Cette rencontre symbolise la convergence entre la mémoire des figures révolutionnaires et la lutte actuelle pour l’indépendance des États du Sahel.
Dans un contexte de transformation profonde du Burkina Faso et de résurgence des mouvements souverainistes en Afrique de l’Ouest, le Capitaine Ibrahim Traoré a reçu des panafricanistes venus de tout le continent et de la diaspora. Cette audience, en marge de l’inauguration du Mausolée Thomas Sankara et de ses douze compagnons, marque un tournant dans la consolidation d’une nouvelle conscience africaine.
Les panafricanistes ont exprimé leur soutien total à l’action souverainiste menée par le Burkina Faso sous la direction du Capitaine Traoré. Ce moment fort s’inscrit dans une dynamique plus large où la jeunesse africaine, inspirée par le courage des nouveaux dirigeants du Sahel, affirme sa volonté de rompre avec les dépendances héritées de la colonisation.
En réhabilitant la mémoire de Thomas Sankara, père de la Révolution d’août 1983, le Burkina Faso ne se contente pas de regarder vers son passé héroïque. Il inscrit son présent dans une dynamique de libération réelle et de reconquête de sa souveraineté. Le Mémorial Sankara, avec ses quinze infrastructures, devient un levier de renaissance idéologique.
La délégation panafricaine, conduite par le Professeur Mamadou Koulibaly, ancien président de l’Assemblée nationale ivoirienne, a salué le rôle moteur du Capitaine Traoré comme figure d’un panafricanisme rénové. En louant la réhabilitation de Sankara et le baptême d’une rue au nom du Président Jerry Rawlings, elle inscrit l’action du Burkina Faso dans une filiation historique de résistance et de dignité.
Cette reconnaissance venue d’Afrique et d’Europe traduit l’impact transfrontalier de la révolution en marche au sein de l’Alliance des États du Sahel (AES). Le Capitaine Ibrahim Traoré incarne une alternative concrète à la dépendance structurelle héritée de la colonisation. Il est, comme l’ont affirmé ses hôtes, « le porte-flambeau de la jeunesse africaine et de sa diaspora ».
La présence et le soutien actif de ces leaders panafricanistes renforcent la légitimité de la lutte engagée par les pays de l’AES. Ce front souverainiste bénéficie d’une adhésion populaire et intellectuelle croissante à travers le continent et dans la diaspora. L’appel à la solidarité face aux menaces, exprimé par le Pr Koulibaly, résonne comme une promesse : l’Afrique ne se détournera plus de ceux qui se dressent pour sa libération.
Adama B.