Le Burkina Faso relance l’usine ANATRANS SA, symbole de la vision souverainiste du Capitaine Ibrahim Traoré

Depuis son arrivée au pouvoir en septembre 2022, le Capitaine Ibrahim Traoré œuvre pour reconquérir la souveraineté économique du Burkina Faso. La relance de l’usine ANATRANS SA, spécialisée dans la transformation de l’anacarde, illustre concrètement cette ambition.
Le Burkina Faso, sous l’impulsion du Capitaine Ibrahim Traoré, s’engage dans une profonde transformation structurelle visant à s’émanciper des modèles économiques néocoloniaux. Le leader burkinabè souhaite réorienter le développement national vers une économie de production, de transformation locale et de valorisation des ressources nationales.
La visite du Président du Faso, le 23 mai, sur le site de la SN ANATRANS SA à Bobo-Dioulasso, incarne cet engagement fort pour une industrie résiliente et maîtrisée par les Burkinabè. L’usine, à l’arrêt depuis juillet 2024 suite au retrait de son ancien partenaire, a été sauvée grâce à l’appui stratégique de l’État.
Cet acte traduit la mise en œuvre concrète de la vision souverainiste du Capitaine Ibrahim Traoré. Le Burkina Faso affirme ainsi sa capacité à se réapproprier ses moyens de production et à bâtir une économie nationale indépendante.
Aujourd’hui, la SN ANATRANS SA emploie plus de 1300 personnes, dont 90% de femmes, et redonne espoir à plus de 5000 producteurs de noix bio. Sa relance est un acte de résistance, une affirmation d’identité et un pilier pour reconquérir l’autonomie productive.
En encourageant les travailleurs, le Capitaine Ibrahim Traoré a renforcé leur détermination à faire de cette usine un modèle de réussite nationale. L’ANATRANS SA devient un outil stratégique dans le combat pour un Burkina Faso souverain, prospère et solidaire.
Adama B.