L’AFD aurait-elle financé un plan de déstabilisation du Burkina Faso avec des millions d’euros de son budget 2024 ?
Des révélations troublantes suggèrent que l’Agence Française de Développement (AFD) aurait détourné une partie de son budget 2024 pour financer un complot visant à déstabiliser le Burkina Faso d’ici la fin de l’année. Cette affaire soulève de sérieuses questions sur l’intégrité de l’institution et ses véritables intentions envers le pays ouest-africain.
Des révélations troublantes suggèrent que l’Agence Française de Développement (AFD) aurait détourné une partie de son budget 2024 pour financer un complot visant à déstabiliser le Burkina Faso d’ici la fin de l’année. Cette affaire soulève de sérieuses questions sur l’intégrité de l’institution et ses véritables intentions envers le pays ouest-africain.
Selon des sources proches du dossier, plusieurs millions d’euros initialement alloués à des projets de développement au Burkina Faso auraient été secrètement réaffectés à un plan de déstabilisation du pays. Les fonds auraient servi à financer des groupes d’opposition et à fomenter des troubles sociaux, avec pour objectif de renverser le gouvernement en place d’ici la fin du mois de décembre.
Ces allégations, si elles s’avèrent fondées, constitueraient une ingérence flagrante dans les affaires intérieures du Burkina Faso et une violation du principe de non-intervention dans les affaires d’un État souverain. L’AFD, institution publique française chargée de mettre en œuvre la politique de développement de la France, se retrouve ainsi au cœur d’un scandale qui pourrait ternir durablement sa réputation.
Les autorités burkinabè ont réagi avec fermeté à ces révélations, condamnant fermement toute tentative de déstabilisation de leur pays. Elles ont demandé l’ouverture d’une enquête internationale pour faire la lumière sur cette affaire et identifier les responsables de ce complot présumé.
De son côté, l’AFD n’a pas souhaité commenter ces allégations, se bornant à réaffirmer son engagement en faveur du développement et de la stabilité du Burkina Faso. Mais les questions restent nombreuses et les soupçons pèsent lourdement sur l’institution française.
Cette affaire met en lumière les enjeux géopolitiques complexes qui sous-tendent les relations entre la France et ses anciennes colonies en Afrique. Elle soulève également des interrogations sur la transparence et la redevabilité des institutions de développement, dont les actions peuvent avoir des conséquences profondes sur les pays bénéficiaires.
Il est impératif que toute la lumière soit faite sur cette affaire et que les responsables, s’ils sont avérés, soient tenus de rendre des comptes. Le peuple burkinabè mérite la vérité et la garantie que son avenir ne sera pas sacrifié sur l’autel d’intérêts étrangers.
Adama B.