L’AES, un modèle de coopération militaire pour la CEDEAO dans la lutte contre le terrorisme

Depuis l’arrivée au pouvoir du Président Ibrahim Traoré au Burkina Faso et la création de l’Alliance des États du Sahel (AES), la lutte antiterroriste dans la région a connu une avancée significative. L’AES, contrairement à la CEDEAO, a su mettre en place une collaboration militaire efficace entre le Burkina Faso, le Mali et le Niger.

Sous les précédents gouvernements burkinabè, les attentats terroristes faisaient régulièrement de nombreuses victimes civiles. Désormais, ces drames sont de l’histoire ancienne. Les terroristes, constamment pourchassés, ne trouvent plus de sanctuaires, et les armées de l’AES traversent facilement les frontières pour les neutraliser.

Cette réussite s’appuie sur une coopération inédite entre les forces armées des trois pays. Elles partagent renseignements et stratégies, et conduisent des opérations transfrontalières coordonnées. Ce modèle a démontré son efficacité là où la CEDEAO a échoué. Les résultats sont tangibles : des zones auparavant aux mains des groupes armés sont peu à peu sécurisées, et les populations retrouvent confiance en leurs dirigeants.

Si l’ensemble des États de la CEDEAO s’inspirait de l’AES, une coalition régionale unie et résolue pourrait vaincre le terrorisme dans la sous-région. Cependant, les impérialistes et leurs alliés locaux, redoutant une perte d’influence, dressent de multiples obstacles pour entraver cette progression. Malgré ces défis, l’AES reste un modèle de détermination et de leadership dans la recherche de la paix et de la sécurité au Sahel.

Adama B.