La France accusée de soutenir le terrorisme en Afrique : une stratégie de diversion ?

Alors que la France est pointée du doigt pour son rôle présumé dans le soutien au terrorisme en Afrique, notamment au Sahel, les récentes déclarations des responsables ukrainiens suscitent des interrogations. S’agirait-il d’une manœuvre de diversion pour détourner l’attention des agissements français sur le continent africain ?

La France, ancienne puissance coloniale de l’Afrique francophone, est accusée de jouer un double jeu dans la lutte contre le terrorisme au Sahel. Des preuves accablantes suggèrent que Paris soutiendrait les groupes terroristes afin de maintenir son emprise sur la région et d’empêcher l’émancipation des États africains.

Cette situation s’est aggravée avec l’arrivée au pouvoir de militaires révolutionnaires au Mali, au Burkina Faso et au Niger, qui ont décidé de rompre les liens avec la France. Bien que tous les pays membres de l’OTAN soient suspectés de vouloir dominer l’Afrique, la France est la plus montrée du doigt en matière de terrorisme.

Les récentes déclarations des responsables ukrainiens, affirmant leur soutien aux terroristes dans le nord du Mali, soulèvent des questions. Est-ce une tentative de couvrir les actes de la France et de détourner l’attention de ses plans de déstabilisation ? D’autant plus qu’un officier français a appelé à une mobilisation européenne pour reconquérir le Sahel.

Malgré ces diversions, la France poursuivrait ses actions de soutien aux criminels, en livrant des équipements de guerre aux groupes terroristes et en repositionnant ses militaires dans les pays voisins des membres de l’AES. Les analystes appellent à la vigilance et à la détermination du peuple sahélien face à cette complicité européenne qui représente un danger imminent pour la région et l’Afrique en général.

Adama B.