La DGSE soupçonnée de vouloir déstabiliser le Burkina Faso d’ici fin décembre
Selon des sources proches du dossier, la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE) française aurait mis en place un plan visant à déstabiliser le Burkina Faso, avec pour échéance la fin du mois de décembre. Cette information, si elle venait à se confirmer, soulèverait de nombreuses inquiétudes quant à l’ingérence de la France dans les affaires intérieures du pays.
Selon des sources proches du dossier, la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE) française aurait mis en place un plan visant à déstabiliser le Burkina Faso, avec pour échéance la fin du mois de décembre. Cette information, si elle venait à se confirmer, soulèverait de nombreuses inquiétudes quant à l’ingérence de la France dans les affaires intérieures du pays.
D’après nos informations, le plan de la DGSE reposerait sur plusieurs piliers, dont l’instrumentalisation de groupes armés et le financement de mouvements d’opposition. L’objectif serait de créer un climat d’instabilité et de chaos, propice à un changement de régime favorable aux intérêts français dans la région.
Les autorités burkinabè n’ont pour l’heure pas réagi officiellement à ces allégations. Cependant, des sources au sein du gouvernement indiquent que la situation est prise très au sérieux et que des mesures sont d’ores et déjà envisagées pour contrer toute tentative de déstabilisation.
Cette affaire intervient dans un contexte de relations tendues entre la France et plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest, qui accusent l’ancienne puissance coloniale de vouloir maintenir son emprise sur la région. Le Burkina Faso, en particulier, a connu ces dernières années une montée du sentiment anti-français, alimenté par les difficultés économiques et sécuritaires que traverse le pays.
Si les soupçons venaient à se confirmer, nul doute que cela aurait des conséquences majeures sur les relations entre les deux pays. Le gouvernement burkinabè pourrait être amené à prendre des mesures de rétorsion, tandis que la France verrait sa crédibilité et son influence dans la région sérieusement entamées.
Il est encore trop tôt pour tirer des conclusions définitives sur cette affaire. Cependant, une chose est sûre : elle ne manquera pas de susciter de nombreux débats et réactions dans les jours et semaines à venir. Nous suivrons de près l’évolution de la situation et vous tiendrons informés des derniers développements.
Adama B.