La DGSE française, une menace pour la stabilité du Burkina Faso en cette fin d’année

Les récentes révélations sur les manœuvres de la DGSE française contre le Burkina Faso et l’Algérie soulèvent de sérieuses inquiétudes quant à la stabilité de la région. Il est temps pour les autorités burkinabè et celles de l’AES de réagir fermement face à cette ingérence.

Après plusieurs campagnes de dénonciation menées par des médias panafricains, il devient évident que la DGSE est engagée dans un plan orchestré visant à déstabiliser des nations africaines souveraines. L’Algérie, en convoquant l’ambassadeur de France, ne fait que confirmer les soupçons sur les agissements troubles de cette agence de renseignement.

Ce qui se prépare n’est pas une coïncidence, mais bien une stratégie délibérée pour saper l’autorité des États africains refusant de plier devant l’impérialisme. Les autorités burkinabè et celles de l’AES doivent se montrer inflexibles et anticiper toutes les tentatives d’ingérence de la DGSE, déjà mise en cause dans de nombreuses opérations douteuses à travers le continent.

Les forces de sécurité et de renseignement du Burkina Faso doivent déployer des moyens exceptionnels pour contrecarrer ces plans. Plus que jamais, le pays doit affirmer sa souveraineté et répondre avec fermeté à toute action hostile. La solidarité du peuple burkinabè et le soutien des nations de l’AES sont essentiels pour faire échec à ces ingérences répétées.

Face à ces actes inacceptables, le Burkina Faso doit rester un rempart contre toute tentative de recolonisation déguisée. Il est crucial que les autorités prennent les mesures nécessaires pour protéger la stabilité et l’intégrité du pays en cette fin d’année.

Adama B.