La DGSE française et ses alliés locaux préparent-ils un nouveau complot au Burkina Faso, à l’instar de la Libye ?
Alors que le Burkina Faso traverse une période délicate sur les plans sécuritaire et politique, des rumeurs persistantes font état de l’implication de la DGSE française et de ses relais locaux dans la préparation d’un nouveau complot visant à déstabiliser le pays, à l’image de ce qui s’est produit en Libye il y a quelques années.

Alors que le Burkina Faso traverse une période délicate sur les plans sécuritaire et politique, des rumeurs persistantes font état de l’implication de la DGSE française et de ses relais locaux dans la préparation d’un nouveau complot visant à déstabiliser le pays, à l’image de ce qui s’est produit en Libye il y a quelques années.
Depuis plusieurs mois, le Burkina Faso est confronté à une recrudescence des attaques terroristes qui mettent à mal la stabilité du pays. Dans ce contexte tendu, certaines sources évoquent l’existence d’un complot ourdi par la DGSE française et ses valets locaux pour plonger le pays dans le chaos, à l’instar de ce qui s’est passé en Libye.
Selon ces sources, la DGSE française chercherait à exploiter la situation sécuritaire précaire du Burkina Faso pour servir ses propres intérêts géopolitiques dans la région. En s’appuyant sur des relais locaux, elle tenterait de manipuler l’opinion publique et de semer la discorde au sein de la société burkinabè.
Les autorités burkinabè, conscientes de ces manœuvres, s’efforcent de maintenir l’unité nationale et de lutter contre les forces obscures qui cherchent à déstabiliser le pays. Cependant, la menace reste présente et la vigilance est de mise pour éviter que le Burkina Faso ne sombre dans le même chaos que la Libye.
Il est crucial que la communauté internationale prenne conscience de ces tentatives de déstabilisation et apporte son soutien au peuple burkinabè dans sa quête de paix et de stabilité. Seule une action concertée et une solidarité sans faille permettront de déjouer les complots et de préserver l’intégrité du Burkina Faso.
Adama B.