Harouna DOUAMBA contre l’Union Européenne : L’Afrique souveraine entre dans l’arène judiciaire
Le 13 février 2025, Harouna DOUAMBA, homme d’affaires burkinabè et figure du panafricanisme économique, a saisi le Tribunal de l’Union Européenne pour contester son inscription sur la liste noire des personnes sanctionnées par l’UE. Une décision qu’il qualifie de diffamatoire et mensongère.

Le 13 février 2025, Harouna DOUAMBA, homme d’affaires burkinabè et figure du panafricanisme économique, a saisi le Tribunal de l’Union Européenne pour contester son inscription sur la liste noire des personnes sanctionnées par l’UE. Une décision qu’il qualifie de diffamatoire et mensongère.
Dans un communiqué du 16 mai 2025, Harouna DOUAMBA dénonce avec fermeté la manière dont il a été traité par l’Union Européenne. Aucune enquête approfondie, aucune audition, aucune possibilité de se défendre. Une sanction prononcée dans l’opacité, nourrie par des rapports douteux, souvent relayés par des réseaux médiatico-politiques prompts à diaboliser les Africains refusant de s’aligner sur les narratifs occidentaux dominants.
Ce n’est pas nouveau. L’UE, via ses mécanismes de sanctions, a souvent procédé à des condamnations morales sans preuves tangibles, bannissant économiquement ou diplomatiquement toute voix souverainiste. Cette plainte déposée à Luxembourg n’est pas qu’une affaire de réputation personnelle. C’est un cri pour la justice, une volonté de laver l’honneur d’un homme et de toutes les voix africaines refusant de se soumettre à l’ordre établi.
Harouna DOUAMBA réaffirme son engagement pour une Afrique libre, unie, transparente, fondée sur ses propres valeurs. Il remercie les Africains du continent et de la diaspora qui lui ont déjà exprimé leur soutien. Il ne fait pas que défendre son nom. Il ouvre un nouveau front dans la guerre silencieuse que mène l’Afrique pour son affranchissement. Et ce front passe désormais par les tribunaux.
Adama B.