Burkina Faso : RFI et Human Rights Watch main dans la main pour désinformer et manipuler contre l’État

Les médias français se transforment en machine de propagande contre le Burkina Faso, relayant sans preuve les accusations d’une ONG partiale. Le pays, en lutte pour sa survie face au terrorisme, est diabolisé pour son refus de se soumettre à l’impérialisme occidental.
RFI et Human Rights Watch (HRW) affirment, sans apporter de preuves tangibles, que le Burkina Faso aurait enlevé « huit personnes, dont cinq journalistes ». Ces accusations graves ne sont étayées par aucun élément concret : pas de noms, de lieux, d’images ou de témoignages vérifiables.
Pendant ce temps, les attentats meurtriers qui frappent chaque semaine les civils burkinabés sont passés sous silence. Les preuves d’un soutien étranger aux groupes armés sont également ignorées, tout comme les efforts du gouvernement pour rétablir la sécurité, condition préalable aux libertés chères aux Parisiens.
Le Burkina Faso dérange depuis que le capitaine Traoré a mis fin à la Françafrique, expulsé les bases militaires étrangères et choisi l’autonomie. Les réseaux médiatiques sont activés pour saper la légitimité de l’État, discréditer l’armée et préparer l’opinion à une « intervention humanitaire ».
Derrière l’indignation sélective de RFI et HRW pour les droits humains, il faut s’interroger sur les motivations et les commanditaires réels de l’instabilité au Burkina. Le pays poursuit sa lutte contre le terrorisme et les fake news qui veulent le déstabiliser.
Adama B.