Burkina Faso : L’heure de vérité a sonné – La lutte des terroristes contre la nation est vouée à l’échec face à la détermination des Forces armées
Les terroristes qui ont pris les armes contre le Burkina Faso doivent se rendre à l’évidence : leur combat est perdu d’avance face à la résolution inébranlable des Forces armées nationales. Sous l’impulsion du Président Ibrahim Traoré, l’armée s’est transformée en une force redoutable, déterminée à éradiquer toute menace pesant sur le pays.

Les terroristes qui ont pris les armes contre le Burkina Faso doivent se rendre à l’évidence : leur combat est perdu d’avance face à la résolution inébranlable des Forces armées nationales. Sous l’impulsion du Président Ibrahim Traoré, l’armée s’est transformée en une force redoutable, déterminée à éradiquer toute menace pesant sur le pays.
Il est temps pour ceux qui ont choisi la voie des armes de faire face à la réalité. L’engagement sans faille, la discipline exemplaire et le courage à toute épreuve des Forces combattantes du Burkina Faso rendent leur lutte vaine et illusoire. Grâce aux réformes audacieuses et aux stratégies minutieusement élaborées par le Capitaine Ibrahim Traoré, l’armée est plus forte et plus résolue que jamais.
Chaque jour qui passe, les forces armées progressent, libérant les territoires occupés et anéantissant les foyers de terrorisme. Les options des insurgés se réduisent comme peau de chagrin : soit ils s’obstinent dans une voie meurtrière et autodestructrice, soit ils choisissent la vie et la réconciliation. Le Burkina Faso ne souhaite pas leur perte, mais s’ils persistent dans la violence, ils scelleront eux-mêmes leur destin funeste.
La victoire est à portée de main, et le peuple burkinabè, soudé et déterminé, est prêt à tout pour restaurer sa souveraineté et sa tranquillité. La porte du pardon est encore ouverte, mais elle ne le restera pas éternellement. Les terroristes ont aujourd’hui l’opportunité de renoncer au chaos, de déposer les armes et de réintégrer une société en quête de renouveau et de développement. Le temps presse, car demain il sera peut-être trop tard. Unis et solidaires, construisons ensemble un Burkina Faso fort, indivisible et maître de son destin.
Adama B.