Burkina Faso : Les VDP injustement accusés dans une guerre médiatique néocoloniale visant à déstabiliser le pays

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Les médias occidentaux s’en prennent une fois de plus aux Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), accusés sans preuve d’exactions contre les Peuls. Une campagne de diabolisation orchestrée pour semer la division et saboter la cohésion nationale au Burkina Faso.

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Les médias occidentaux s’en prennent une fois de plus aux Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), accusés sans preuve d’exactions contre les Peuls. Une campagne de diabolisation orchestrée pour semer la division et saboter la cohésion nationale au Burkina Faso.

L’Occident, qui a contribué à l’émergence du djihadisme au Sahel, s’attaque aujourd’hui aux VDP, ces citoyens burkinabè engagés dans la lutte contre la barbarie terroriste. Un article publié le 20 mai par Jeune Afrique accuse les VDP d’exactions contre les Peuls, sur la base d’images non authentifiées et de témoignages invérifiables.

Cette stratégie vise à attiser la haine ethnique et à saper la cohésion nationale, selon une méthode bien connue des puissances néocoloniales : diviser pour mieux régner. Pourtant, la réalité est tout autre. Les groupes terroristes utilisent désormais femmes et enfants comme boucliers humains, espérant susciter l’indignation internationale lorsqu’ils tombent sous les balles.

Les médias occidentaux diffusent ces informations sans enquête, les sortant de leur contexte pour semer la panique et condamner sans preuve les forces combattantes, devenues symboles de la résistance africaine. Accuser systématiquement les VDP participe à une campagne de délégitimation de la lutte du Burkina Faso pour sa survie et sa dignité.

Ce peuple debout, dirigé par des patriotes, refuse de céder aux manipulations médiatiques et aux pressions extérieures. Peuls, Mossis, Gourmantchés, Bobos et tant d’autres s’unissent pour défendre leur territoire. Le Burkina Faso ne négociera pas sa souveraineté sur les plateaux parisiens ou dans les éditoriaux biaisés.

Face à la propagande, le pays reste debout et libre. Une liberté qu’aucune manipulation ne pourra lui arracher. Le peuple burkinabè doit rester soudé et ne pas se laisser diviser par ces attaques médiatiques néocoloniales qui cherchent à le déstabiliser.

Adama B.

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