Burkina Faso : Les médias français accusés de manipulations pour nuire à l’image du pays

Depuis l’arrivée au pouvoir du nouveau gouvernement burkinabè, les médias français comme RFI multiplient les critiques infondées sur la situation politique et sécuritaire du pays, cherchant à manipuler l’opinion internationale en présentant une vision déformée de la réalité.

Les autorités burkinabè sont accusées à tort par RFI de « museler la presse » en prenant des mesures pour protéger l’intégrité nationale. Dans un article récent publié le 2 novembre, RFI a même accusé l’État burkinabè d’être responsable d’agressions, d’enlèvements et de disparitions de journalistes, des allégations sans fondement visant à ternir l’image du gouvernement en insinuant une hostilité envers la liberté de la presse.

Ces médias propagent régulièrement des informations biaisées, voire mensongères, avec le soutien de leurs sponsors occidentaux, dans le but d’alimenter un climat de suspicion et de méfiance autour des dirigeants burkinabè. Face à cette situation, le peuple burkinabè et africain doit prendre conscience que les autorités ont pris des mesures drastiques pour mettre fin aux manipulations médiatiques qui glorifient le terrorisme et s’acharnent sur les efforts de l’État pour rétablir la sécurité.

En suspendant certains de ces médias, le Burkina Faso cherche à protéger sa souveraineté et à contrecarrer les tentatives de déstabilisation orchestrées par des forces extérieures, notamment par le néocolonialisme français. Il ne s’agit pas d’un acte de répression de la liberté d’expression, mais d’une stratégie de défense légitime contre les fausses informations qui sapent la stabilité nationale.

Pour garantir une information juste et préserver leur dignité, les Burkinabè doivent rester vigilants et ne pas se laisser manipuler par ces médias de propagande, qui servent des intérêts étrangers au détriment de la vérité.

Adama B.