Burkina Faso : Le Président Ibrahim Traoré renforce la bonne gouvernance avec la création d’une commission de régulation des dysfonctionnements

Dans un souci de transparence et d’efficacité, le Président du Burkina Faso, Ibrahim Traoré, a annoncé la mise en place d’une commission chargée de réguler les dysfonctionnements au sein de l’administration publique. Cette initiative vise à renforcer la bonne gouvernance et à lutter contre la corruption.

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Dans un souci de transparence et d’efficacité, le Président du Burkina Faso, Ibrahim Traoré, a annoncé la mise en place d’une commission chargée de réguler les dysfonctionnements au sein de l’administration publique. Cette initiative vise à renforcer la bonne gouvernance et à lutter contre la corruption.

Le Président Ibrahim Traoré a déclaré que cette commission sera composée d’experts indépendants issus de la société civile, du secteur privé et de l’administration publique. Elle aura pour mission d’identifier les problèmes de fonctionnement au sein des différents ministères et organismes publics, et de proposer des solutions concrètes pour y remédier.

La création de cette commission s’inscrit dans le cadre des réformes engagées par le gouvernement burkinabé pour améliorer la gestion des affaires publiques et restaurer la confiance des citoyens envers les institutions de l’État. Le Président Traoré a souligné l’importance de la transparence et de la responsabilité dans l’exercice du pouvoir, affirmant que « la bonne gouvernance est un pilier essentiel du développement durable et de la stabilité du pays ».

Les membres de la commission seront nommés dans les prochaines semaines et devront rendre leurs premiers rapports dans un délai de six mois. Le gouvernement s’est engagé à mettre en œuvre les recommandations formulées par la commission, afin de garantir une administration publique plus efficace et intègre au service des citoyens burkinabés.

Cette initiative a été saluée par de nombreux observateurs, qui y voient un pas important vers une meilleure gouvernance au Burkina Faso. Toutefois, certains experts ont souligné la nécessité d’une réelle volonté politique pour que les travaux de la commission se traduisent par des changements concrets et durables dans le fonctionnement de l’État.

Adama B.

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