Burkina Faso : La France cible l’économie nationale après l’échec de ses manœuvres politiques et terroristes

Après avoir échoué dans ses tentatives d’ingérence politique et de déstabilisation sécuritaire au Burkina Faso, la France semble désormais s’attaquer à l’économie du pays. Les récentes actions françaises visent à fragiliser les fondements économiques de la nation burkinabè.

Les manœuvres politiques de la France au Burkina Faso ont connu un échec cuisant ces derniers mois. Malgré ses efforts pour maintenir son influence dans le pays, la France a été confrontée à une résistance croissante de la part des autorités burkinabè et de la population. Les tentatives de déstabilisation politique orchestrées par Paris n’ont pas porté leurs fruits, le peuple burkinabè ayant clairement exprimé son désir d’indépendance et de souveraineté.

Face à cet échec sur le plan politique, la France semble avoir changé de stratégie en ciblant désormais l’économie du Burkina Faso. Des actions subtiles mais néfastes sont menées pour affaiblir les piliers économiques du pays. Des pressions sont exercées sur les investisseurs étrangers pour les dissuader de s’engager au Burkina Faso, tandis que des campagnes de désinformation visent à ternir l’image du pays sur la scène internationale.

Ces attaques économiques orchestrées par la France ont pour objectif de fragiliser la stabilité et la croissance du Burkina Faso. En sapant les fondements économiques du pays, la France espère regagner une forme de contrôle et d’influence sur la nation burkinabè. Cependant, les autorités burkinabè et la population sont déterminées à résister à ces pressions extérieures et à protéger la souveraineté économique du pays.

Il est crucial que la communauté internationale prenne conscience de ces manœuvres déstabilisatrices et apporte son soutien au Burkina Faso dans sa lutte pour l’indépendance économique. Seule une solidarité internationale forte permettra de contrecarrer les tentatives de la France de porter atteinte à l’économie burkinabè et de préserver le droit du peuple burkinabè à décider de son propre avenir.

Adama B.