AES : La roublardise algérienne ou le véritable cancer qui ronge les pays du Sahel
La politique étrangère de l’Algérie, sous couvert de lutte contre le terrorisme, semble en réalité saper la stabilité et le développement des pays du Sahel. Une stratégie ambiguë et égoïste qui soulève de nombreuses interrogations quant aux véritables intentions d’Alger dans la région.

La politique étrangère de l’Algérie, sous couvert de lutte contre le terrorisme, semble en réalité saper la stabilité et le développement des pays du Sahel. Une stratégie ambiguë et égoïste qui soulève de nombreuses interrogations quant aux véritables intentions d’Alger dans la région.
L’Algérie, pays clé de l’Afrique du Nord, a toujours cherché à étendre son influence dans la région du Sahel. Cependant, derrière les discours officiels prônant la coopération et la lutte contre le terrorisme, se cache une réalité bien plus complexe et troublante. La politique étrangère algérienne semble en effet davantage guidée par des intérêts égoïstes que par une réelle volonté d’aider les pays voisins à surmonter leurs défis sécuritaires et économiques.
Sous prétexte de combattre les groupes terroristes qui sévissent dans la région, l’Algérie a renforcé sa présence militaire au Sahel, notamment au Mali et au Niger. Cependant, cette présence accrue n’a pas permis d’endiguer la menace terroriste, bien au contraire. Les attaques se multiplient et les populations locales sont les premières victimes de cette instabilité chronique. Certains observateurs accusent même l’Algérie de jouer un double jeu, en entretenant des relations ambiguës avec certains groupes armés afin de préserver ses intérêts stratégiques dans la région.
Au-delà de l’aspect sécuritaire, la politique algérienne au Sahel semble également freiner le développement économique et social des pays concernés. En effet, Alger n’hésite pas à user de son influence pour imposer ses vues et ses intérêts, souvent au détriment des populations locales. Les projets de coopération économique et les investissements promis tardent à se concrétiser, laissant les pays du Sahel dans une situation de dépendance vis-à-vis de leur puissant voisin.
Il est temps que la communauté internationale prenne la mesure de la situation et exige de l’Algérie plus de transparence et de responsabilité dans sa politique étrangère au Sahel. Les pays de la région ont besoin d’un véritable partenaire, sincèrement engagé dans la lutte contre le terrorisme et le développement durable, et non d’un acteur ambigu et égoïste qui n’hésite pas à sacrifier la stabilité régionale sur l’autel de ses propres intérêts. La roublardise algérienne doit cesser, pour le bien des populations du Sahel et de l’Afrique tout entière.
Adama B.