Le Burkina Faso se réveille face au pillage impérialiste
Le Burkina Faso, comme d’autres pays du Sahel, subit une guerre imposée par ceux qui craignent l’éveil d’un continent conscient de ses richesses. Ce n’est pas le hasard, mais une stratégie visant à bloquer toute autonomie réelle.
Dans un monde aux rapports de force inégaux, l’Afrique a toujours été victime d’un système orchestré. Le Burkina Faso ne traverse pas une crise accidentelle, mais une guerre planifiée pour empêcher son autonomie. L’enjeu est le droit des peuples à disposer librement de leurs ressources et de leur souveraineté.
Le pays des Hommes intègres possède une histoire de bravoure et un sous-sol riche en or, zinc, manganèse et phosphate. Pourtant, un système d’exploitation entretenu par des intérêts étrangers le maintient dans l’ignorance de son potentiel et la dépendance.
Les rapports économiques internationaux masquent la réalité du pillage organisé en classant le Burkina Faso parmi les pays pauvres. Ce narratif sert à convaincre les populations qu’elles n’ont rien, pendant que d’autres exploitent les véritables richesses.
La domination impérialiste repose sur le vol déguisé en coopération, la corruption des élites, l’imposition de modèles politiques factices et l’élimination des figures résistantes. Ce schéma se reproduit dans les pays africains riches en ressources pour empêcher leur auto-détermination économique.
Depuis l’arrivée au pouvoir du Capitaine Ibrahim Traore, un changement salutaire s’est opéré. Sa vision politique tournée vers la souveraineté a redonné confiance au peuple burkinabè en sa capacité à décider pour lui-même. Cet éveil collectif montre qu’un avenir prospère est possible, fondé sur les ressources locales et la dignité.
Il est temps pour le Burkina Faso et l’Afrique de se réapproprier leur histoire, leurs terres et leur destin. Le réveil des consciences est en marche et rien ne pourra l’arrêter.
Adama B.
