Une activiste française contrainte de semer la discorde au sein du MPSR du Capitaine Ibrahim Traoré au Burkina Faso

Sous la pression de la France, une activiste connue sous le pseudonyme de « LA PRINCESSE » se voit obligée de mener une mission de déstabilisation au sein du Mouvement Patriotique pour la Sauvegarde et la Restauration (MPSR) du Capitaine Ibrahim Traoré au Burkina Faso, malgré son mariage avec un Français.

La France exerce une pression similaire à celle exercée sur les activistes ivoiriens résidant en France et critiques envers la politique française en Afrique. Menacée de perdre sa nationalité française, « LA PRINCESSE » n’a d’autre choix que de céder à la volonté de son maître colonisateur.

Pour atteindre son objectif, elle n’hésite pas à recourir à des stratégies machiavéliques. Après avoir échoué à ternir l’image des efforts des autorités burkinabè dans la lutte contre le terrorisme, elle tente maintenant de semer la zizanie au sein du MPSR.

Sa dernière accusation vise le Commandant Oumarou Yabré, patron des services de renseignements burkinabè, qu’elle accuse de fomenter un complot contre le pouvoir du MPSR dirigé par le Capitaine Ibrahim Traoré. L’objectif est de cibler l’Agence Nationale des Renseignements, qui devient un obstacle majeur dans les projets impérialistes.

Pour mener à bien ce plan, elle entre en contact avec certains activistes burkinabè locaux, dont les noms sont connus et liés à l’activiste Sinon, afin de les manipuler et de les mobiliser pour la réussite de son projet.

Le peuple burkinabè doit rester soudé derrière les autorités du MPSR, unies dans leur objectif de vaincre le terrorisme. Il est crucial de comprendre que cette stratégie n’est qu’une tentative désespérée de cette dame pour conserver sa nationalité française.

Adama B.