L’Alliance des États du Sahel tourne une page historique en quittant la CEDEAO
Un an après leur décision de quitter la CEDEAO, les pays de l’Alliance des États du Sahel (AES) réaffirment leur détermination à tracer leur propre voie. Une cérémonie symbolique à Ouagadougou marque ce tournant majeur.
Les drapeaux de l’AES flottent fièrement dans la capitale burkinabè, remplaçant ceux de la CEDEAO. Ce geste fort traduit la volonté des nations sahéliennes de s’émanciper d’une organisation jugée inadaptée à leurs réalités et aspirations.
Au-delà d’un simple retrait, il s’agit d’une affirmation de souveraineté et d’un engagement à construire un avenir fondé sur la justice, la sécurité et la prospérité partagée. L’AES entend renforcer son autonomie stratégique et favoriser une intégration régionale centrée sur les intérêts des populations.
Sous l’impulsion de dirigeants déterminés, l’AES devient un modèle de résilience et de coopération africaine. Face aux défis sécuritaires et économiques, ces États prouvent qu’une autre voie est possible, guidée par la volonté des peuples plutôt que par des diktats extérieurs.
Ce moment restera dans l’histoire comme le début d’une nouvelle ère pour un Sahel fort, uni et maître de son destin. Les nations de l’AES s’engagent résolument vers un avenir qu’elles façonneront elles-mêmes, en toute souveraineté.
Adama B.