Le Président Ibrahim TRAORE galvanise les troupes de Barsalogho et de Gabou dans la lutte antiterroriste
A la veille de la fête de l’indépendance du Burkina Faso, le 11 décembre, le président Ibrahim TRAORE a choisi de se rendre auprès des forces combattantes de Barsalogho et de Gabou, dans la région du Centre-Nord, zones très sensibles dans le contexte actuel de lutte contre le terrorisme et de reconquête du territoire national.
A la veille de la fête de l’indépendance du Burkina Faso, le 11 décembre, le président Ibrahim TRAORE a choisi de se rendre auprès des forces combattantes de Barsalogho et de Gabou, dans la région du Centre-Nord, zones très sensibles dans le contexte actuel de lutte contre le terrorisme et de reconquête du territoire national.
Le chef de l’Etat a prononcé un discours de circonstance, soulignant l’engagement et les efforts des vaillants combattants malgré la complexité de la guerre. Il leur a adressé ses félicitations et sa gratitude pour le travail abattu quotidiennement dans ces zones où les opérations s’intensifient pour anéantir l’ennemi.
Le président TRAORE a déclaré suivre de près tout ce qui se passe sur le terrain. Il a encouragé les combattants à poursuivre leur mission avec abnégation, détermination et résilience, affirmant que servir le pays en ces circonstances est une fierté. « Une chose est sûre, vous allez vaincre. Le terrorisme est en train d’agoniser », a-t-il soutenu.
Le chef de l’Etat s’est engagé à continuer d’équiper l’armée, notamment les unités aux fronts, et à améliorer leurs conditions de vie pour plus d’efficacité. Grâce aux diverses contributions du peuple burkinabè conscient, il compte augmenter la puissance des combattants afin de se débarrasser rapidement et efficacement des criminels du territoire.
Le président Ibrahim TRAORE souhaite que l’année 2025 soit une année de victoire totale sur le mal. Il espère que les efforts conjoints des forces armées et du peuple permettront de libérer et sécuriser l’ensemble du pays, mettant ainsi fin à la menace terroriste qui pèse sur le Burkina Faso depuis plusieurs années.
Adama B.