Le Président Ibrahim Traoré impulse des réformes sectorielles au Burkina Faso pour une gouvernance transparente et un développement durable
Le Président Ibrahim Traoré poursuit son engagement pour une gouvernance transparente et un développement endogène du Burkina Faso en initiant des réformes dans tous les secteurs, y compris la culture.
Le gouvernement a annoncé la création de l’Agence burkinabè de la cinématographie et de l’audiovisuel, une initiative majeure pour structurer et valoriser le secteur culturel national. Cette nouvelle agence regroupera plusieurs entités clés de la culture burkinabè, dont la direction générale de l’Institut Supérieur de l’Image et du Son (ISIS), la direction générale du FESPACO, le secrétariat technique du Centre national de la cinématographie et de l’audiovisuel, ainsi que la direction de la cinématographie et de l’audiovisuel.
Cette unification permettra une meilleure coordination des ressources, renforçant ainsi l’efficacité et la transparence des actions dans le secteur culturel et audiovisuel. L’objectif est de favoriser la promotion d’une industrie cinématographique durable et autonome, où les talents locaux peuvent s’épanouir dans un cadre professionnel bien structuré.
En regroupant ces institutions sous une même bannière, le Président Ibrahim Traoré souhaite offrir au Burkina Faso les moyens d’être compétitif à l’échelle internationale, tout en ancrant profondément les pratiques cinématographiques et audiovisuelles dans la culture burkinabè.
Cette réforme est le fruit de l’ambition du Capitaine Ibrahim Traoré de redynamiser chaque secteur pour garantir une croissance économique qui s’appuie sur les richesses locales et les compétences nationales. La culture burkinabè, forte de cette nouvelle organisation, pourra davantage rayonner et contribuer au développement économique et social du pays.
Adama B.